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 Le bonheur plus fort que l'oubli : comment bien vivre avec Alzheimer


Lorsque Colette Roumanoff a découvert en 2005 que son mari était atteint d'Alzheimer, elle a décidé que « la tragédie ne monterait pas à bord de son bateau ». Un seul moyen pour relever ce défi : comprendre la maladie et les réactions du malade. Son mari ne se souvient pas de leur histoire ? Non, mais il sait qu'elle est « Colette » et ressent toute l'importance qu'elle a pour lui. « Colette, tu es formidable ! » Il faut savoir que la maladie est pleine de bizarreries. Daniel, par exemple, joue très bien au golf mais est incapable de s'habiller ou de se diriger seul. Au début, devant certains oublis de son mari, Colette s'irritait : à ne jamais faire ; le malade, qui fait de son mieux avec les informations que son cerveau lui donne, se sent rejeté et agressé et la relation se coupe aussitôt. Et s'il devient désagréable, c'est peut-être juste qu'il a trop chaud, mais comme il n'a pas l'idée d'enlever son pull, il se sent en danger. Le malade perd de plus en plus la capacité de s'adapter à son environnement, et à vivre seul. Il faut l'accompagner dans un mode de vie et un environnement adaptés, de manière à ce que le quotidien devienne fluide et sans à-coups. En apprivoisant peu à peu cet Alzheimer que Colette a renommé « la confusionite », on peut réussir

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1er étage Médecine et santé Doc./616.8 ALZ C2200001696 Empruntable -

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