Dans ces poèmes écrits entre 1946 et 1949, Boris Vian se rapproche de Queneau : il recourt au langage parlé, à l'écriture phonétique, à toutes les distorsions possibles des mots. L'humour noir, la provocation, la tendresse, la fantaisie verbale, la mélancolie lui permettent de livrer parfois le plus intime de lui-même.
Localisation | Collection | Cote | Code barres | Situation | Date de retour |
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1er étage | Poésie | P/VIA | C0005610754 | Empruntable | - |