Roxane, seule. O ciel ! à cet effort m'auriez-vous condamnée De mon aveugle amour seraient-ce là les fruits Tant de jours douloureux, tant d'inquiètes nuits, Mes brigues, mes complots, ma trahison fatale, N'aurais-je tout tenté que pour une rivale Mais peut-être aussi, trop prompte à m'affliger, J'observe de trop près un chagrin passager. Acte III, scène 7
Localisation | Collection | Cote | Code barres | Situation | Date de retour |
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1er étage | Théâtre (textes) | T/RAC | C0001745776 | Empruntable | - |